18 févr. 2010

Suka wapi?: RDC-RWANDA : Un rapprochement pour rien ?



Après plus de 10 ans de conflits, la nouvelle alliance entre Kinshasa et Kigali pouvait laisser croire un retour à la paix au Kivu. En janvier 2009, un retournement d'alliance avait permis de neutraliser la rébellion de Laurent Nkunda, ancien allié du Rwanda et auourd'hui détenu par Kigali. Mais plus d'un an après, l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) est toujours le théâtre de violents affrontements entre groupes armés. Pour le chercheur Thierry Vircoulon, ce rapprochement est un échec.

Drapeau RDC 2.jpgDrapeau Rwanda.jpgDans un article publié par Alternatives Internationales (1), un chercheur de l'Institut français des relations internationales (Ifri) revient sur l'année écoulée au Kivu depuis l'arrestation du rebelle Laurent Nkunda. Un brusque renversement de situation, où les ennemis d'hier sont devenus les alliés d'aujourd'hui... la RDC de Joseph Kabila s'est en effet rapprochée du Rwanda de Paul Kagame. Les deux pays se sont retrouvés sur des objectifs communs : la neutralisation de la rébellion de Nkunda et la traque aux rebelles hutus des FDLR au Kivu.

Thierry Vircoulon porte un jugement sévère sur le bilan de se rapprochement. Même si Laurent Nkunda a effectivement été arrêté et si des opérations conjointes de chasse aux FDLR ont été mis en place (Umoja Wetu et Kimia II), les résultats sont "loin d'être à la hauteur" pour le chercheur français. Selon Thierry Vircoulon, "la traque aux FDLR a tourné court (...) et cette échec militaire coïncide avec l'absence de progrès dans la très attendue normalisation politique". L'ancien mouvement de Laurent Nkunda, le CNDP, attend toujours son intégration dans l'appareil décisionnaire congolais et son entrée au gouvernement. L'incorporation des troupes rebelles au sein de l'armée congolaise (FARDC) est tout aussi virtuelle et le CNDP continue de faire la loi dans ses fiefs (Masisi et Rutshru).

Pour ce spécialiste de l'Afrique, "l'histoire bégaie dans les Kivus (...) le processus de paix s'apparente en définitive à une pièce de théâtre maintes fois rejouée dont ni l'intrigue ni les rôles n'ont changé".

Christophe Rigaud

(1) "RD Congo : l'histoire bégaie dans les Kivus". Thierry Vircoulon - Alternatives Internationales - Décembre 2009.

Créé le 07.02.10 à 05h52 - AFRIQUE REDACTION | CONFLIT ARMÉ | RDC | Mis à jour le Dimanche | 07.02.10 à 06h00.
Par : AFRIKARABIA

Suka wapi?: Occupation du territoire par les Rwandais : « Joseph Kabila » s’apprête à envoyer des troupes rwandaises au Bas-Congo !



Dans une circulaire de la Police nationale provinciale du Bas-Congo (voir document officiel ci-dessous)

http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12654169752826.pdf parvenue à la Rédaction de L’œil du Patriote, et que nous portons à la connaissance des congolais et de la Communauté internationale, il est mentionné que le gouvernement congolais va « procéder sous peu (au Bas-Congo) au lancement des activités de la nouvelle unité dénommée police des frontières, dont une équipe d’officiers provenant du centre Jules MOKE de Bukavu » est déjà affecté dans la région.

Le document précise également que cette unité créée par ordonnance présidentielle n°07/046 du 12 juin 2007 est « déjà opérationnelle dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et du Katanga ». Le document est émis par l’inspecteur provincial de la police nationale Congolaise du Bas-Congo, le tristement célèbre Raus CHALWE NGWASHI. Comme chacun le sait, ce dernier à l’image de son mentor « Joseph Kabila », a fait de la violation des Droits de l’Homme en RDC, l’une de ses activités favorites. Ce document a été envoyée aux différentes structures politico-administratives de la province du Bas-Congo avec comme recommandation à toutes, de bien vouloir « collaborer avec ce nouveau service de police pour l’intérêt supérieur de la République » !

Cependant, compte tenu de ce qui se passe déjà à l’Est de la RDC , tout le monde sait aujourd’hui que les nouvelles unités de la police créées ces dernières années et montées à l’Est de la RDC sont essentiellement composées d’éléments rwandais agissant sous la couverture du RCD hier et du CNDP aujourd’hui. Les personnes sélectionnées pour la formation de cette unité de police sont presque toutes rwandaises. La population à l’Est de la RDC ainsi que de nombreuses ONG sont également là pour témoigner du fait que depuis que le CNDP a intégré de façon officielle les institutions congolaises, l’insécurité a augmenté pour les populations congolaises. En dépit des déclarations mensongères faites par le gouvernement congolais en complicité avec la MONUC , l’Est de la RDC est loin d’avoir retrouvé la Paix.

Les congolais doivent prendre dès à présence la mesure de la gravité de cette disposition prise par notre imposteur et ses complices. Car comme d’habitude, le gouvernement d’occupation prend soin de camoufler les véritables objectifs de cette nouvelle décision machiavélique. Mais cette nouvelle mascarade soulève quelques questions qui dévoilent des incohérences qui mettent à nu la perversité de cette dernière machination de «Joseph Kabila».

1. A supposer que cette unité de police « rwandaise » aie réellement comme rôle d’œuvrer pour le retour de la paix en sécurisant la population, pourquoi précipiterait-on son départ de la région frontalière de l’Est de la RDC qui constitue aujourd’hui notre frontière la plus poreuse, et où l’insécurité règne encore ? D’aucuns se rappellent qu’on a signalé il y a peu, l’arrivée massive de faux réfugiés congolais en provenance notamment du Rwanda et du Burundi. Etait-ce le moment de dégarnir ces frontières de cette unité de police pour l’envoyer loin dans une frontière relativement calme, quant aux mouvements d’infiltrations clandestines ?

2. N’est-ce pas parce que cette unité de la police des frontières est composée essentiellement d’éléments rwandais que leur chef d’État-major James Kabarebe a précédé ses troupes dans le Bas-Congo quelques jours avant leur arrivée pour les dernières mises au point ?

3. Pourquoi faut-il faire venir des éléments de police de l’Est de la RDC alors qu’il y en a aussi bien à Kinshasa. Le coût de leur déplacement n’aurait-il pas été moins élevé en ce temps de crise?

4. De plus, si le véritable rôle de cette unité de police était de sécuriser les frontières congolaises ainsi que les populations frontalières, pourquoi alors ne l’ a-t-on pas d’abord envoyée là où les besoins de sécurité se font sentir avec urgence, par exemple au nord de la RDC où des éleveurs Mbororos terrorisent la population et font maintenant la loi sur notre territoire depuis des lustres ? Pourquoi ne pas envoyer d’urgence cette nouvelle unité affronter les LRA qui ne cessent d’assassiner des innocents congolais ou qui multiplient les enlèvements des paisibles citoyens ?

5. Pourquoi cette unité si «performante», n’a-t-elle pas été envoyée à Kahemba aussi par exemple, là où notre frontière a sacrément besoin d’être défendue ?

6. Enfin, comment expliquer le fait que celui qui se dit pourtant « président des congolais », fasse systématiquement appel à des rwandais pour résoudre les problèmes sécuritaires de la RDC , autrement que par le fait qu’il est bel et bien un rwandais au service de son pays d’origine, le Rwanda ?

Le gouvernement d’occupation installé à Kinshasa se gardera surement de répondre à toutes ces questions car, comme l’a toujours démontré L’Œil du Patriote, le véritable agenda des alliés de Paul Kagamé en RDC n’a jamais visé le rétablissement de la paix sur notre territoire, mais plutôt l’occupation, la balkanisation et le pillage des ressources de notre pays. Le chaos entretenu et même amplifié jusqu’aujourd’hui ne vise qu’à permettre l’accomplissement l’un après l’autre des objectifs fixés par Kigali. Les résultats flagrants sont là, depuis plus d’une décennie qu’on parle aux congolais de paix et d’ordre, c’est une guerre de basse intensité qui nous est sournoisement livrée. Les congolais meurent chaque jour un peu plus et nos frontières n’ont jamais été aussi violées par nos voisins.

Le déploiement de cette fausse « police des frontières », dont l’efficacité n’est déjà pas démontrée à l’Est de la RDC , bien au contraire, illustre la volonté de notre imposteur national d’utiliser les troupes rwandaises infiltrées en RDC pour quadriller notre pays partout où il y a velléité de résistance à l’occupation. Il appartient au peuple congolais de comprendre que c’est une nouvelle milice rwandaise que l’on est en train d’exporter dans la province du Bas-Congo et qui ne sèmera bientôt que la désolation à l’Ouest de la RDC comme au Kivu et comme c’est le cas en ce moment dans la province de l’Équateur.

Patriotes congolais, réveillez-vous !

Créé le 08.02.10 à 12h22 - AFRIQUE REDACTION | OCCUPATION DU TERRITOIRE | RDC | Mis à jour le Lundi | 08.02.10 à 12h30.
Par : Candide OKEKE. L’ŒIL DU PATRIOTE

Sukawapi?: La lutte contre l’enrôlement des enfants : Les médias appelés à s’approprier la lutte contre l’enrôlement des enfants



Stratégie de croissance des marchés d'assurance dans l'espace FANAF ". Tel est le thème principal de la 34ème Assemblée générale annuelle de la Fédération des sociétés d'assurances de droit national africaines (FANAF) dont le coup d'envoi a été lancé, hier lundi 8 février. Durant quatre jours, les participants échangeront sur d'importants dossiers de l'avenir de l'assurance en Afrique, notamment sur la libéralisation des assurances en RD Congo.

Les travaux de la 34ème Assemblée générale annuelle de la Fédération des sociétés d'assurances de droit national africaines (FANAF), ont effectivement démarré, le lundi 8 février 2010. Dans un salon Congo du Grand Hôtel Kinshasa archicomble, le vice-Premier ministre en charge de la Reconstruction, Emile Bongeli, a présidé, au nom du chef de l'Etat Joseph Kabila, la cérémonie d'ouverture. C'est un événement à la taille du pays tant il est vrai que c'est pour la première fois que la RD Congo accueille une assemblée générale de la FANAF depuis sa création en 1976.

Pour ces assises dont la présidence du comité d'organisation est confiée à l'ADG de la Sonas, Mme Carole Agito Amela, plus de 400 délégués venus de 28 pays d'Afrique, d'Asie, de l'Europe… notamment les responsables des associations et sociétés d'assurances africaines et du monde, les opérateurs économiques ainsi que les journalistes, analystes et autres experts, réfléchissent, du 7 au 11 février 2010, sur le thème " Stratégie de croissance des marchés d'assurance dans l'espace FANAF ".

Durant quatre jours, les participants auront à réfléchir sur l'avenir de l'assurance dans les pays de la FANAF. Une table ronde sera organisée pour préparer la journée des assurances. La libération des assurances avec le passage d'une société d'assurance étatique à un marché d'assurance concurrentiel est aussi à l'ordre du jour. Il est aussi prévu d'examiner la réparation des victimes d’accidents de la circulation et la synergie entre la finance et l'assurance.

A l'ouverture de la cérémonie, le vice-Premier ministre en charge de la Reconstruction, Emile Bongeli, a qualifié ces assises de " historiques et salvatrices " puisqu'elles tombent au moment de la reconstruction du pays résumée dans les cinq chantiers de la République. a révélé au public que la Société nationale d'assurances, seule à détenir le monopole sur le marché congolais, selon l'ordonnance-loi de sa création en 1966, ouvre son capital à d'autres partenaires. "Libéralisation, oui, mais pas à n'importe quel prix ", a déclaré Bongeli, qui a par ailleurs précisé que la RDC n'est pas le seul pays qui passe du monopole à la concurrence.

Invitant les investisseurs à venir nombreux en RDC, " terre fertile d'assurances ", le représentant personnel du chef de l'Etat à ces assises a rassuré son auditoire. " Il est difficile de perdre de l'argent quand on investit au Congo ". Allusion faite à l'amélioration du climat des affaires par un projet de loi qui réduit de 15 à 5 jours la durée de l'octroi des titres.

Donnant la photographie de son institution, le président de la FANAF, Protais Ayangma Amang, a remercié le président congolais Joseph Kabila d'avoir accepté la tenue des assises dans son pays. Il a présenté la FANAF qui regroupe à ce jour 150 membres oeuvrant dans 23 pays.

Le président de la FANAF a avancé quelques chiffres alléchants. En 2008, par exemple, les sociétés membres de la FANAF, qui font travailler directement plus de 6.655 employés, ont réalisé un chiffre d'affaires de plus de 1,38 milliard de dollars US. Protais Ayangma a aussi indiqué que toutes les sociétés membres dont les fonds propres s'élèvent à plus de 407,2 millions US, ont réalisé des placements d'un montant de plus de 2,3 milliards de dollars US.

Dans son mot de bienvenue, l'ADG de la Sonas, Carole Agito a indiqué que la Sonas ne ménage aucun effort pour la réussite de cet événement qui consacre à coup sûr le retour de la RDC sur la scène africaine des assurances. La présidente du comité d'organisation a remercié les instances dirigeantes de la FANAF pour le choix porté sur la RDC.

Créée le 17 mars 1976 à Yamoussoukro, la FANAF, c'est une association professionnelle dont le siège social est à Dakar au Sénégal. Instrument au service de la promotion de l'assurance à l'échelle du continent, la FANAF regroupe en son sein 140 sociétés d'assurance et de réassurance dont 34 sociétés d'assurance Vie, 94 sociétés d'assurance Non vie, 11 sociétés de réassurance et 1 fonds de garantie.

Par BONGOS ROGER
AFRIQUE REDACTION | CONFLIT ARMÉ | RDC | Mis à jour le Mardi | 09.02.10 à 08h00. Par : LE POTENTIEL

Suka wapi?: Rdc,la démocratie du silence !

Faire feu de tout bois contre Monseigneur Monsengwo Pasinya semble être le maitre mot à l'AMP.Ces gens semblent vivre dans un autre monde que le notre et semblent avoir autre chose à la place du coeur puisqu'ils n'ont ni cohérence, ni compassion pour leurs semblables encore moins juste un peu d'humanité.

Qui peut comprendre que des innocents puissent passer toute leur vie en prison pendant que les criminels se la coulent douce en liberté ? Comment comprendre qu'il y ait des gens qui ne veulent meme pas donner la parole aux gens qui n'ont comme seul et unique tort que le fait d'avoir été au mauvais endroit, au mauvais moment ?

Tout le monde s'accorde à exiger la démocratie en Rdc.Mais la démocratie n'est-elle pas le fait de laisser s'exprimer librement toutes les sensibilités de la composante nationale sur des sujets à intéret national ? Pourquoi on veut à tout qu'on cesse de parler de l'assassinat de Mzée LD Kabila.

Curieusement on a vu des kabilistes pur sucre montés au créneau pour decrier que l'archeveque de Kinsahasa qui, s'exprimant après avoir celebré officiellement la messe d'action de grace pour deux héros nationaux injustement assassinés Lumumba et LD Kabila,puisse donner son avis sur un procès pourtant reconnu de tous comme étant stalinien.

Finalement, Joseph Kabila est démocrate lorsqu'on l'exige rien, lorsqu'on ne lui demande rien et surtout lorsqu'on ne critique pas son action.Sa démocratie à lui, c'est rester à la tete des institutions congolaises aussi longtemps possibles sans rendre des comptes à qui que ce soit.C'est la démocratie du silence.

C'est ahurissant par ce que la Rdc ne lui appartient pas encore moins à sa famille biologique et politique.Et tout congolais, quels que soient les caractéristiques et critères établis, a le droit de dire ce qu'il veut, ce qu'il pense, ce qu'il espère et attend de ceux qui dirigent son pays.C'est ça la démocratie !

Par Teddy Mfitu le vendredi 29 janvier 2010

Sukawapi?: Deux poids, deux mesures !

L'affaire des députés katangais passés à tabac le jeudi 28 janvier dans l'enceinte de l'Assemblée provinciale est prise au sérieux par le gouvernement de Joseph Kabila. Le ministre de l'Intérieur a été dépêché à Lubumbashi où il a reçu le 29 janvier au soir les élus de la province.

Le siège de l'Assemblée a été fermé et est gardé par des policiers.Qui semble ignoré Gabriel Kyungu wa kumwanza en Rdc? Son passé politique et ses innombrables actes criminels restés totalement impunis plaident largement contre lui.Mais il est resté de marbre et occupe une fonction prestigieuse de président de l'assembée provinciale du Katanga.

C'est vrai que dépuis un moment nombre de députés contestent sa gestion de l'Assemblée provinciale. C'est le refus d'examiner une motion contre le questeur soupçonné de détournement des fonds qui a mis le feu aux poudres jeudi dernier.Encore et toujours la meme chose,la meme accusation dans ce pays.

La crise pourrait avoir d'importantes répercutions puisque les deputés tabassés sont du RCD de Ruberwa Azarias donc les protegés de Paul Kagamé.Comme ils béneficient toujours d'un traitement de faveur ceux-là,les tetes pourront bien tomber car Gabriel Kyungu que je n'ai jamais soutenu est allé au-delà de son imagination.

Il devra supporter la foudre de l'éthnie Tutsie, véritables intouchables sous le régime de Joseph Kabila. Plusieurs élus affirment que jeudi dernier c'est lui qui a fait venir les jeunes de son parti, l'Unafec, pour agresser les signataires de motion de défiance contre le bureau et deux ministres provinciaux.

Seule certitude le passage à tabac de deux élus jeudi dernier dans l'enceinte même de l'assemblée risque de mettre à mal une cohabitation politique et économique déjà précaire.L'impunité dont béneficiait Gabriel Kyungu n'a jamais pu s'expliquer.
Souvenez-vous qu'il a sequestré un ministre au Katanga sans qu'il soit poursuivi.

Combien sont les deputés de l'opposition à Kinshasa qui subissent des agressions et des intimidations sans que le gouvernement de Monsieur Kabila ne s'offusque ? Certains ont meme été menacés à mort sans aucune réaction de la part du gouvernement congolais qui pourtant a dans ses attributions, la protection des hommes et de leurs biens.

Jean-jaurès disait:"Le courage c’est de rechercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques".

La vérité est que c’est folie de penser que nouveaux plaisirs fassent oublier vieilles offenses aux grands seigneurs et Joseph Kabila en est un donc la suite ne sera que douloureuse pour l'aspiration de la démocratie en Rdc.J'imagine déjà que Joseph Kabila prendra en charge ses frères pour atténuer la colère de Ruberwa.

Par Teddy Mfitu le samedi 30 janvier 2010